Envenant de lĂ  Pv Ethan LA sign Mise en page si je croise un PC Crack Ça sonnait bien dans tes oreilles, t avais mĂȘme pas entendu si ton passager avait raler
Allez les kids, c'est l'heure !Oh nonOh nonAllez, debout, faut y aller lĂ Mais non !Laisse-nous dormirOn veut dormir La suite des paroles ci-dessous Pour louper l'Ă©coleJe ferais n'importe quoiPour louper l'Ă©coleMoi, j'irais jusqu'Ă Faire le tour de la maisonEn pyjama pour choper froidManger des tartines au goudronPour avoir mal Ă  l'estomacFaire mon service militaireTraverser la Manche en bouĂ©eChatouiller une panthĂšreFaire pipi sur un policierPour louper l'Ă©coleJe ferais n'importe quoiPour louper l'Ă©coleMoi, j'irais jusqu'oĂč ?Pour louper l'Ă©coleJe ferais n'importe quoiPour louper l'Ă©coleMoi, j'irais jusqu'Ă Devenir magicienPour me faire disparaĂźtrePrier pour que les martiensM'enlĂšvent sur leur planĂštePrendre en otage ma p'tite sƓurTerminer mes choux d'BruxellesManger des crayons d'couleurPour vomir un arc-en-cielSans arme, contre un gladiateurJe serais prĂȘt Ă  me battreImiter les cascadeursEspĂ©rer finir dans l'plĂątreAvaler deux cents limacesPour effrayer les instit'Faire sauter la salle de classeÀ la dynamitePour louper l'Ă©coleJe ferais n'importe quoiPour louper l'Ă©coleMoi, j'irais jusqu'Ă Pour louper l'Ă©coleJe ferais n'importe quoiPour louper l'Ă©coleMoi, j'irais jusqu'Ă Pour moi, c'est pire que le bagne La suite des paroles ci-dessous Et lorsqu'il l'eut inventĂ©Ce sacrĂ© CharlemagneAurait dĂ» rester couchĂ©Comptez pas sur moi, les garsC'est sympa mais c'est sans moiOui, j'ai eu cette idĂ©e folleUn jour d'Ă©viter l'Ă©coleBon allez, lĂ  faut y aller maintenantOh nonOn veut pas y allerOn y va pasMais nonAh si, si vous y allez !Bah, pourquoi ?Mais vous avez signĂ©, vous y allez !Mais on a rien signĂ© nousC'est fauxArrĂȘteOn n'veut pas y allerOn prĂ©fĂšre rester couchĂ©sHaut les mains, peau d'lapinLa maĂźtresse en maillot d'bainOn n'veut pas y allerOn prĂ©fĂšre rester couchĂ©sLes cahiers au feuLa maĂźtresse au milieuJouer Ă  Fortnite sur les mainsEmmĂ©nager Ă  la cantineChanter du Black M en latinMe faire tatouer les caninesPasser l'annĂ©e sans WiFiMe parfumer au RoquefortCompter jusqu'Ă  l'infiniFaire la teuf en CorĂ©e du NordSauter dans l'compost tout nuTester le kebab au chloreGifler le gars d'la sĂ©cu'Avoir comme coloc' un croque-mortCourir dans l'dĂ©sert en doudouneFaire mon anniv' aux urgencesTraiter Dark Vador de clownRegarder le Tour de FrancePour louper l'Ă©coleOn ferait n'importe quoiPour louper l'Ă©coleOn irait jusqu'Ă Pour louper l'Ă©coleOn ferait n'importe quoiPour louper l'Ă©coleOn irait jusqueLĂ  ! Les internautes qui ont aimĂ© "Pour Louper L'Ecole" aiment aussi Avoirfini ma mission jeunette sur ces lapins de la Couronne est un clin d'oeil Ă  ton amour de l'Angleterre, n'y voir que ça, sinon c'est trop con, du temps perdu pour toujours. Pardon Maman de m'ĂȘtre occupĂ©e de ces nanars commerciaux dont tu ne soupçonnais rien, au lieu d'apprendre par coeur chacune de tes paroles. Je ne me rappelle pas d Elle Ă©tait tellement dĂ©gueulasse cette baraque, que lorsque j’en sortais, une odeur de friture et de graisse entourait mes cheveux et mes fringues. En plus, depuis que le pĂšre restreignait le shampoing Ă  la maison, on avait les cheveux gras, la plupart du temps, filasses et mal peignĂ©s, ma petite sƓur et moi. Ma petite sƓur avait tout juste cinq ans, des cheveux tout blonds, et des yeux bleus toujours grands ouverts qui dĂ©voraient tout ce qui l’entourait. Malheureusement pour elle, y’avait pas grand-chose autour d’elle, Ă  part cette baraque crade, les murs noircis de traces de main, le sol mal lavĂ© et la vaisselle amoncelĂ©e dans l’évier. C’était moi qui faisais la plupart des trucs mais l’école me prenait pas mal de temps aussi. Une fois, le pĂšre, en colĂšre, avait gueulĂ© qu’il m’enlĂšverait du lycĂ©e dĂšs que j’aurais seize ans ; j’avais eu drĂŽlement peur ce jour-lĂ , mĂȘme que je m’étais pas endormie avant une heure du matin, Ă  imaginer comment serait ma vie si j’avais plus le lycĂ©e. La plupart du temps, il me foutait la paix, le pĂšre, toujours avachi devant la tĂ©lĂ©, devant ses conneries. Je me suis demandĂ©e s’il se levait la journĂ©e, quand j’étais pas lĂ , parce qu’il Ă©tait exactement dans la mĂȘme position quand je partais et que je rentrais ; y’avait mĂȘme une aurĂ©ole noire de sa transpiration autour du canapĂ©. Heureusement, que j’allais jamais Ă  cĂŽtĂ© de lui, j’aurais vomi autrement. Il travaillait pas, parce qu’il touchait une pension pour incapacitĂ© de travail », depuis que ma mĂšre s’était barrĂ©e. Ma mĂšre Ă©tait trĂšs belle, je m’en souvenais bien, trĂšs libre aussi, je sais pas ce qu’elle avait pu trouver au pĂšre, mais peut-ĂȘtre qu’il n’avait pas toujours Ă©tĂ© comme ça, avec un gros ventre et moite de crasse. Elle m’avait eue, et dix ans aprĂšs, ma petite sƓur Ă©tait arrivĂ©e ; c’est lĂ  que les choses s’étaient gĂątĂ©es la petite famille idĂ©ale avait volĂ© en Ă©clats. Il avait commencĂ© Ă  boire et elle s’était faite chier dans son rĂŽle de mĂšre au foyer et de prostituĂ©e conjugale, c’était ses mots, que j’avais entendus dans une dispute. Elle s’était tirĂ©e une nuit, pour pas qu’on la voit, et qu’on soit tristes, ma sƓur et moi, sans bruit, en laissant une lettre dans ma chambre que j’ai lue au matin et qui disait qu’elle partait seule, le temps de se trouver une nouvelle vie et que lorsqu’elle serait installĂ©e et tout, elle reviendrait nous chercher. Le pĂšre avait lu la lettre le matin suivant, et avait hurlĂ© en la dĂ©chirant. J’avais pleurĂ© mais il s’en foutait le pĂšre, rien Ă  foutre de voir ses filles pleurer. Il avait dĂ©raillĂ© de plus en plus, oubliant d’aller au travail, parlant tout seul, riant et pleurant tour Ă  tour. La tĂ©lĂ© avait Ă©tĂ© son meilleur ami et il n’avait mĂȘme pas rĂ©agi lorsqu’il avait reçu une lettre du travail qui le virait. Il s’en foutait de tout, maintenant. Je crois qu’il en avait marre de nous, surtout de moi et qu’il devait nous en vouloir comme si c’était nous qui avions fait partir sa femme. Le pĂšre m’avait dit un jour Tu vas au lycĂ©e tous les jours et en rentrant tu m’amĂšnes un pack de six biĂšres, si tu fais ça, tout ira bien pour toi ». Alors je faisais ça ; au dĂ©but j’avais eu peur que Doris, la caissiĂšre, croit que j’étais alcoolique mais elle voyait bien que c’était pas pour moi et puis dans les petits villages, tout se sait ; tout le monde savait que le pĂšre perdait pied et s’enfonçait dans l’alcool et la dĂ©pression. Quelquefois, elle me filait des trucs en douce, du shampoing, du savon, mais j’avais du mal Ă  trouver des cachettes dignes de ce nom car le pĂšre, rĂŽdait dans la maison, fouillait dans notre chambre et piquait ce qu’il trouvait, juste pour nous faire chier. Souvent, il se mettait Ă  gueuler pour rien, alors je fermais les yeux, je bouchais les oreilles de ma petite sƓur et j’attendais que ça passe. C’était une vraie entreprise de tout laver parce qu’il passait derriĂšre moi et remettait autant de merde qu’avant mon nettoyage. Il faisait rien, le pĂšre, ni la bouffe, ni le mĂ©nage, ni le lit mais par contre, il gĂ©rait son argent, tout seul, tout entier. Chaque dĂ©but de mois, il mettait de cĂŽtĂ© l’argent dont il aurait besoin pour la biĂšre un pack de six biĂšres tous les jours de la semaine et deux packs chaque jour du week-end. Une fois, j’avais dit que depuis qu’il travaillait plus, les week-ends ça n’existait plus mais il m’avait foutu une gifle. J’avais donc appris quelque chose avec mon pĂšre vivre comme s’il n’existait pas. Il me laissait tranquille, sauf pour l’argent, oĂč c’était pas facile parce qu’il gagnait peu et qu’on avait besoin de manger moi et ma petite sƓur. C’était pour elle que je m’inquiĂ©tais le plus. Le pĂšre avait dĂ©cidĂ© qu’elle n’irait Ă  l’école qu’à six ans et j’aimais pas la lui laisser toute la journĂ©e. Mais quand il avait pris une dĂ©cision le pĂšre, je pouvais rien dire ou faire pour qu’il change d’avis. C’est pour ça que je me dĂ©pĂȘchais de rentrer chez moi pour m’en occuper, la laver, la changer, et la sortir. C’était arrivĂ© que je trouve le pĂšre dans sa torpeur post-biĂšre et ma petite sƓur en train de jouer avec les couteaux qui trainaient ou toute nue dans la baignoire ; un soir, elle pleurait tellement qu’il m’avait dit Sors la gamine ou je vais la cogner ». J’étais sortie au grand air avec elle et l’avait bercĂ©e pendant plusieurs heures. Elle rĂ©pĂ©tait Maman, maman, maman » en boucle et je lui avais dit Maman va revenir, je te le promets, mais il ne faut pas parler de maman devant papa, il n’aime pas ça ». Elle ne comprenait pas tout, ma petite sƓur. J’aimais pas qu’il l’appelle la gamine, comme si elle Ă©tait une vulgaire poupĂ©e. Je me souvenais qu’il l’avait battue une fois la seule j’espĂ©rais, lĂ  j’avais perdu tout mon calme, j’étais allĂ©e le voir et je lui avais dit que je le tuerai s’il retouchait Ă  ma petite sƓur. Il avait Ă©clatĂ© de rire, ce salaud et m’avait giflĂ©e Tu crois que tu peux me faire du mal» ? et il Ă©tait allĂ©e aux toilettes, dont il laissait toujours la porte ouverte comme pour montrer qu’il Ă©tait chez lui et qu’il faisait ce qu’il voulait. Il se lavait jamais le pĂšre et il puait vraiment; j’avais peur que ma petite sƓur lui dise un jour, dans son innocence d’enfant, mais le pĂšre n’aimait pas entendre des vĂ©ritĂ©s et j’avais peur qu’il se retienne pas de lui foutre une beigne. Dans ma tĂȘte, je l’appelais le salaud mais je pouvais pas le dire Ă  ma petite sƓur sinon elle le rĂ©pĂšterait sans faire attention et lĂ , ce seraient les coups qui pleuvraient. Quand ma mĂšre Ă©tait partie, j’avais surveillĂ© le courrier avec attention jusqu’à ce que je m’aperçoive que le pĂšre l’interceptait et le foutait Ă  la poubelle sans mĂȘme le regarder ; j’étais allĂ©e voir le facteur et lui avait demandĂ© de laisser le courrier dans un autre endroit parce que le pĂšre ne voulait pas le lire ; comme tout le monde au village, le facteur savait que le pĂšre dĂ©raillait, il avait donc acceptĂ© ; jour aprĂšs jour, j’attendais qu’elle m’écrive, qu’elle nous Ă©crive et qu’elle vienne nous chercher. J’attendais mais je savais que ça en valait la peine car elle allait revenir ; ça ne pouvait pas durer, toute cette merde, ça ne pouvait pas durer Ă©ternellement. Et si elle ne venait pas parce qu’elle avait des empĂȘchements, dĂšs que je serai grande, je partirai avec ma petite sƓur, la retrouver. Ce lundi aprĂšs-midi, en rentrant du lycĂ©e, j’ai dĂ©couvert une nouvelle lubie de mon pĂšre ; il pionçait, comme d’habitude, devant la tĂ©lĂ©, comme un gros porc gavĂ© pendant que ma petite sƓur jouait sur le canapĂ©, Ă  moitiĂ© sur ses genoux. Je l’ai prise dĂ©licatement dans mes bras et l’ai amenĂ© dans la salle de bains pour la laver, quotidiennement. Ne reste pas sur le canapĂ© quand y’a papa, va plutĂŽt jouer par terre, je lui ai dit. - Pourquoi ? - C’est mieux, ma chĂ©rie » Pendant que je frottais sa petite peau dĂ©licate, elle m’a dit Salope, t’es une salope » J’ai Ă©tĂ© tellement surprise que j’ai reculĂ© un instant ; sa petite voix d’enfant Ă©tait si pure et si nette et ses grands yeux bleus tellement sincĂšres que j’ai eu du mal Ă  croire qu’elle avait vraiment dit ça. Et puis j’ai eu un doute. Tu as fait quoi avec papa ? - TĂ©lĂ©. - Tu as regardĂ© quoi ? - Des gens qui disent des gros mots. » J’ai pas pu y croire, au dĂ©but, suis allĂ©e rĂ©veiller le pĂšre. Il a marmonnĂ© dans un demi-sommeil et s’est redressĂ©. Son ventre a rebondi Ă  cause de la graisse accumulĂ©e. Tu regardes des films pornos avec elle ? - Et alors, faudra bien qu’elle sache un jour ou l’autre comment ça se passe. J’ai eu envie de gerber sur lui, je sais pas trop pourquoi, soit parce qu’il puait, soit parce que ce qu’il disait me foutait en l’air. Je n’ai rien dit, je n’ai rien pu dire. Je suis allĂ©e dans la salle de bain, ma petite sƓur jouait avec son canard dans le bain. Lave-la bien, il a gueulĂ© le pĂšre, elle puait aujourd’hui ! » Ma petite sƓur m’a souri et m’a dit Pute, pute, pute... - Il ne faut pas dire ces mots, ce sont des mauvais mots, des mots interdits. - Comme maman » ? - Oui, j’ai dit tristement. Elle n’a rien dit mais je savais qu’elle n’avait pas compris. Le lendemain aprĂšs-midi, je suis rentrĂ©e et mon pĂšre Ă©tait en train de regarder un porno avec ma petite sƓur qui suçait sa sucette. Il avait sa main dans le pantalon et se tripotait. Je le voyais bander. J’ai commencĂ© Ă  pleurer de rage. Qu’est-ce t’as encore Ă  chialer ? Si t’es pas bien, ici, t’as qu’à te casser. - Oui, je partirai, un jour, je te le promets. Avec elle. » Il a posĂ© une main sur le genou de ma petite sƓur et a dit en riant grassement Ah non, je garde la gamine, je l’aime bien, elle ». Ma petite sƓur a rigolĂ© aussi. Le pĂšre a attrapĂ© sa cinquiĂšme biĂšre et a rotĂ©. Ma petite sƓur a encore ri. Je suis allĂ©e vers le canapĂ© pour la prendre dans mes bras, pour le bain quotidien, mais il a dit Laisse-la moi, on a pas encore fini de regarder le film ». J’ai jetĂ© un coup d’Ɠil Ă  la tĂ©lĂ©. Deux hommes pĂ©nĂ©traient une femme en criant violemment. J’ai regardĂ© le pĂšre et j’ai vu une lueur de provocation dans ses yeux. Il avait trouvĂ© un moyen de me faire chier ma petite sƓur. J’ai rien dit, je sentais que je me serais prise une rouste, je suis allĂ©e dehors, prendre l’air, j’ai marchĂ© autour de la maison en guettant un bruit de moteur, une voiture, quelqu’un qui saurait l’enfer que je vivais ici et qui nous enlĂšverait du salaud. Mais y’avait personne. J’ai marchĂ© un peu plus loin sur le chemin, je pensais Ă  ma petite sƓur devant des films pornos, toutes les images qu’elle garderait en elle, tous les mots qu’elle saurait et qu’elle ne devait pas connaĂźtre, et j’ai eu encore envie de pleurer. J’allais rentrer pour voir oĂč ça en Ă©tait quand j’ai entendu un petit bruit. Je me suis approchĂ©e et j’ai soulevĂ© un tas de planches qui faisaient office de banc pour le pĂšre, Ă  l’époque oĂč il sortait dehors et oĂč il travaillait. Y’avait un lapereau qui glapissait et tremblait. Je l’ai pris dans mes bras et je l’ai aimĂ© tout de suite. On dit que c’est dans le dĂ©sespoir le plus profond qu’apparaissent quelques lueurs d’espoirs. Je suis rentrĂ©e dans la maison et je l’ai montrĂ© au pĂšre et Ă  ma petite sƓur Regardez ce que j’ai trouvĂ©. - Fous-moi cette connerie dehors, il a marmonnĂ© le pĂšre. Je l’ai regardĂ© dans les yeux et j’ai dit Non, ça tu me le laisses. Il m’a regardĂ© aussi, surpris que je lui tienne tĂȘte ; mais il a dĂ» sentir que c’était le compromis pour que je supporte le reste. Ma petite sƓur est descendue du canapĂ©, intriguĂ©e par ce nouvel arrivant ; mon pĂšre s’en est foutu, a retournĂ© sa tĂȘte vers l’écran oĂč les deux mecs avaient Ă©tĂ© rejoints par deux autres gars et s’acharnaient sur cette pauvre fille qui faisait semblant d’adorer ça ; il a pas fait gaffe au dĂ©part de ma petite sƓur. J’avais gagnĂ©. On est allĂ©es dans la cuisine, on a donnĂ© du lait au lapereau. Il miaule, a dit ma petite sƓur. - Un lapin ne miaule pas, il glapit, tu sais. J’ai ri, elle a ri aussi. C’était bien durant quelques secondes. Le pĂšre, plus loin, a toussĂ©. S’il pouvait nous foutre la paix de cette façon tous les jours, ce serait une sorte de paradis. Le soir, ma petite sƓur n’arrivait pas Ă  dormir Ă  cause du lapin qui faisait du bruit. Elle avait peur qu’il lui ronge les pieds parce qu’elle avait Ă©tĂ© surprise de l’ardeur avec laquelle il avait rognĂ© la carotte qu’on lui avait offerte. Je lui ai racontĂ© une histoire sur un gentil lapin, ça l’a calmĂ©e mais elle gardait ses yeux grands ouverts. J’avais mal au cƓur de la voir comme ça, dans un autre monde que celui qui aurait dĂ» ĂȘtre le sien, l’école, une maman, etc. Le temps oĂč j’étais Ă  la maison, j’essayais de lui montrer dehors, de lui raconter des histoires et tout mais je sentais bien que c’était pas suffisant pour son cerveau de petite fille. Puis entre le lycĂ©e et le mĂ©nage, j’avais pas trop de temps pour elle. Comme elle s’endormait pas et qu’il commençait Ă  ĂȘtre tard, je lui ai montrĂ© quelque chose, un secret ; j’avais dĂ©cidĂ© de pas lui montrer encore, parce qu’elle Ă©tait jeune et surtout parce qu’elle pouvait le rĂ©pĂ©ter au pĂšre. Une photo d’elle, de notre mĂšre que j’avais rĂ©ussie Ă  conserver de l’accĂšs de fureur du pĂšre qui avait tout brĂ»lĂ©. C’est qui ?, elle a demandĂ©. J’ai eu envie de pleurer. C’est maman. » Elle a regardĂ© longtemps et je lui ai dit Mets la sous ton oreiller, comme ça maman sera avec toi et tu pourras dormir ». Je sais pas si elle m’a crue mais en tout cas, quelques minutes plus tard, elle dormait Ă  poings fermĂ©s. Le lendemain, c’était mercredi et j’avais pas cours au lycĂ©e. On est sorties promener le lapin », je lui ai montrĂ© des fleurs, des animaux, je lui ai racontĂ© deux histoires. L’aprĂšs-midi, elle a fait la sieste pendant que je faisais mes devoirs et le soir, elle m’a aidĂ© Ă  faire le mĂ©nage. J’étais contente parce qu’elle a pas dit un seul gros mot j’espĂ©rais en secret que son cerveau avait oubliĂ© les films. Le pĂšre a larvĂ© devant la tĂ©lĂ© avec son pack de biĂšre, il a pas gueulĂ©, il a rien dit. Le jeudi, j’ai Ă©tĂ© angoissĂ©e toute la journĂ©e, j’avais peur qu’il foute le lapin dehors. Je suis rentrĂ©e en vitesse, et dans la hĂąte, j’ai cassĂ© une bouteille de biĂšre qui s’est Ă©clatĂ©e. DĂ©couvrir qu’y avait que cinq bouteilles, ça l’a foutu hors de lui, il a sorti un billet de cinq dollars et m’a dit T’y retournes, dĂ©pĂȘche-toi. J’avais eu le temps de voir que le lapereau Ă©tait toujours vivant et dans notre chambre. Il avait rongĂ© le bas de notre couverture qui traĂźnait par terre mais il Ă©tait vivant. J’étais tellement contente que j’ai presque eu envie de dire merci au pĂšre, mais j’ai rien dit bien sĂ»r. J’ai attrapĂ© ma petite sƓur au vol et on s’est tirĂ©es Ă  l’épicerie pour racheter un pack de six biĂšres. La caissiĂšre nous a regardĂ©es avec un air rĂ©signĂ© et j’ai eu honte parce que ma petite sƓur assistait Ă  tout ça. Le pĂšre s’est envoyĂ© six biĂšres coup sur coup et il a gardĂ© les cinq autres pour le lendemain. Il Ă©tait tellement dans le coltard qu’il s’est mĂȘme pas bougĂ© pour nous rejoindre Ă  table. Comme il dormait sur le canapĂ©, sa chaise Ă©tait libre et j’ai dĂ©cidĂ© que le lapin viendrait avec nous. On a mangĂ© tous les trois, c’était super, ma sƓur n’a pas dit de gros mots et le lapin nous a bien fait rire. Le lendemain, vendredi aprĂšs-midi, quand je suis rentrĂ©e, le pĂšre Ă©tait debout, Ă©nervĂ©. Il Ă©tait Ă  demi-bourrĂ©, comme d’habitude ; la tĂ©lĂ© Ă©tait Ă©teinte, j’ai eu peur tout de suite. J’ai pensĂ© Ă  ma petite sƓur mais je l’ai aperçue sur une chaise en train de dessiner ; j’ai pensĂ© au lapereau mais j’ai fini par l’entendre glapir. J’ai un problĂšme d’argent, a dit le pĂšre. J’ai plus assez pour la biĂšre, pendant trois jours. Comment je vais faire, putain ? - Je sais pas, j’ai dit laconiquement et Ă  vrai dire je m’en foutais. - C’est ce foutu lapin ; depuis qu’il est lĂ , il bouffe tout. Je vais chercher le fusil un de ces quatre, tu vas voir ! - Tu n’as pas intĂ©rĂȘt, j’ai dit. Pas le lapin. Ma petite sƓur a compris car elle a dit Veux que le lapin reste, bordel » ! Je l’ai regardĂ©e. Encore un nouveau gros mot. Elle m’a souri et s’est concentrĂ©e sur sa feuille. Je m’en branle, il a dit, le pĂšre, mais tu trouves une solution sinon, c’est le lapin qui y passe. » Je l’ai haĂŻ violemment mais j’ai vite cherchĂ© une solution dans ma tĂȘte. Je me suis rappelĂ©e que j’avais un bijou de valeur alors je lui ai dit qu’on pourrait le vendre ; il s’est affalĂ© sur le canapĂ© en grognant et a dit Tu te dĂ©merdes, mais je veux mes biĂšres ». Alors je me suis dĂ©merdĂ©e, je suis allĂ©e Ă  l’épicerie, j’ai expliquĂ© le problĂšme Ă  la caissiĂšre, Doris, comme quoi le pĂšre voulait ses biĂšres de toute urgence, que j’avais pas encore l’argent mais que je pourrais l’avoir vite, dĂšs le lendemain, parce que j’allais vendre un bijou de valeur. Elle a eu tellement pitiĂ© de moi qu’elle a sorti un billet et qu’elle a payĂ© les biĂšres Ă  ma place. J’étais Ă  la fois contente qu’elle soit si gentille, mais triste de faire autant de la peine aux gens. J’en voulais au pĂšre pour cette vie. Il Ă©tait tellement content de voir ses biĂšres arriver qu’il nous a foutus la paix et qu’on a pu manger tranquillement, tous les trois avec le lapin. J’étais presque heureuse, parce que j’avais encore mon bijou, celui que maman m’avait offert, et parce que ma petite sƓur avait l’air de vraiment bien aimer le lapin et je me disais que ça rĂ©parait un peu son manque d’affection. Les jours sont passĂ©s, les semaines aussi, le lapin grandissait. Je commençais Ă  ĂȘtre contente que mon pĂšre se bourre la gueule le soir, comme ça on mangeait de plus en plus souvent sans lui, avec notre lapin. Il nous faisait bien rigoler avec sa façon de tout ronger et grignoter. Je me suis mise Ă  vraiment l’aimer aussi, ce lapin. Un vendredi, je suis allĂ©e chercher ma petite sƓur et le lapin et on est sortis chercher le courrier dans l’endroit secret qu’on avait convenu avec le facteur ; y’avait des publicitĂ©s et une lettre cachetĂ©e d’une ville que je connaissais pas, qui devait ĂȘtre loin sans doute, avec un timbre spĂ©cial, trĂšs joli. Mon cƓur a battu super vite, je savais ce que c’était. C’était elle. Notre mĂšre Mes chĂ©ries, Doris La caissiĂšre de l’épicerie, Ă  qui j’avais laissĂ© mon adresse, m’a Ă©crit pour me raconter dans quelle misĂšre je vous ai laissĂ©es. J’espĂšre que vous me pardonnerez un jour. A bientĂŽt Maman. J’ai Ă©tĂ© tellement heureuse que j’ai criĂ© et que j’ai prise ma petite sƓur dans les bras. Elle ne comprenait pas mais elle sentait ma joie mais elle sentait que j’étais heureuse alors elle a souri, par mimĂ©tisme. MĂȘme le lapin semblait glapir de joie. Je ne pouvais pas lui expliquer car elle risquait de le rĂ©pĂ©ter au pĂšre et je ne voulais prendre aucun risque qui pourrait compromettre cette Ă©vasion. J’ai mis la lettre dans ma poche et on est rentrĂ©es. Le lendemain, samedi, j’avais la journĂ©e de libre ; aprĂšs avoir tentĂ© de nettoyer la maison, je suis sortie. Ma sƓur dormait. Mes cheveux sentaient l’huile, tout comme les habits. Je n’arrivais pas Ă  enlever cette puanteur de moi, elle Ă©tait incrustĂ©e dans les murs de ma maison. Je suis revenue Ă  la maison et j’ai tout de suite sentie que quelque chose n’allait pas. Mon pĂšre matait un film porno, ma sƓur Ă©tait Ă  cĂŽtĂ© de lui, toute nue. Il avait une main dans son jogging dĂ©gueulasse et l’autre sur elle ; j’aimais pas ça qu’il s’excite Ă  cĂŽtĂ© d’elle, j’avais peur qu’il finisse par... avec lui, on Ă©tait jamais sĂ»r de rien. Il m’a pas regardĂ©e et il a continuĂ© sa petite affaire. Je suis allĂ©e dans la chambre et j’ai pas vu le lapin. Il est oĂč le lapin ? j’ai fait. Il m’a pas regardĂ©e, ni rĂ©pondu. Il est oĂč le lapin ? », j’ai rĂ©pĂ©tĂ©. Il a pas rĂ©pondu, ce vieux salaud. J’ai commencĂ© Ă  fouiller partout, dans toutes les piĂšces, rien, ni dans la poubelle. Je suis allĂ©e dehors, j’ai fait le tour de la maison mais aucune trace de notre lapin. Je suis rentrĂ©e, ma sƓur Ă©tait toute seule sur le canapĂ©. Il est oĂč, l’autre ?, j’ai demandĂ© Ă  ma petite sƓur. - Toilettes ». J’étais Ă©cƓurĂ©e d’ĂȘtre obligĂ©e de savoir ça et surtout que ce soit ma petite sƓur de cinq ans qui me le dise. J’imaginais le pĂšre en train de se masturber dans les Mais je devais au moins me rĂ©jouir qu’il ne se finisse pas devant elle. Il est sorti quelques minutes plus tard et avant que j’ai le temps de dire quoi que ce soit, ma petite sƓur a demandĂ© Est oĂč, lapin ? - J’ai tuĂ© cette vermine avant qu’il envahisse toute la maison. J’ai jetĂ© sa carcasse pourrie vers la boĂźte aux lettres ». J’ai criĂ©, je sais pas pourquoi, je me suis mise Ă  hurler, encore plus fort que lui. Ma petite sƓur a fait comme moi. Il l’a cognĂ©e et s’est approchĂ©e de moi pour faire la mĂȘme chose. Je suis sortie avant qu’il ait le temps de me toucher. J’ai couru jusqu’à l’emplacement dont il avait parlĂ©. J’ai vu notre petit lapereau, maculĂ© de sang, la gorge tranchĂ©e, couchĂ© dans l’herbe comme s’il dormait. Je me suis allongĂ©e Ă  cĂŽtĂ© de lui. Je pleurais tellement que j’avais des hoquets. J’ai pensĂ© Ă  ma mĂšre, que je perdais encore une fois, Ă  ce vulgaire bientĂŽt qu’elle nous avait laissĂ© dans la lettre – est-ce qu’on mĂ©ritait pas mieux ?- et qui se noyait dans le sang du lapin et j’ai pensĂ© Ă  ma sƓur, qui venait d’ĂȘtre frappĂ©e. J’ai attendu longtemps, trĂšs longtemps et j’ai enterrĂ© le lapin dans la terre. Je suis revenue Ă  la maison, pour ma petite sƓur. Elle hurlait et il marchait de long en large. Putain, calme la gamine, sinon je sais pas ce que je vais faire... » Il se passait les mains sur le visage comme s’il se contrĂŽlait pas. Elles tremblaient misĂ©rablement. J’ai pris ma sƓur dans les bras, on est allĂ©es dehors. J’ai attendu qu’elle se calme. Je l’ai assise dans l’herbe ; le soleil commençait Ă  descendre. J’ai dit Ă  ma petite sƓur Tu te souviens l’épicerie oĂč on va souvent ? Elle a hochĂ© la tĂȘte. Et bien tu vas y aller toute seule. Elle a dit non de la tĂȘte. Je l’ai prise dans mes bras. Comme une grande, une grande fille. Tu es une grande fille, hein ? Elle aimait bien ĂȘtre une grande fille. Tu vas y aller et tu vas parler Ă  Doris, tu sais la caissiĂšre. Tu lui dis qu’elle vienne vite ici. - D’accord. - Allez vas-y. » Elle s’est mise en route ; de temps en temps, elle s’arrĂȘtait et se retournait pour me regarder ; je ne bougeais pas et l’encourageais. Quand elle a Ă©tĂ© hors de vue, je suis allĂ©e dans la grange de notre voisin. Puis je suis retournĂ©e dans la maison. Il m’a pas regardĂ©, il se foutait bien de savoir ce que je faisais. J’ai dit Eteins la tĂ©lĂ©, salaud. Il a sursautĂ© de m’entendre parler comme ça mais il m’a pas Ă©coutĂ©e, il a pas Ă©teint la tĂ©lĂ©. Il s’est retournĂ© vers moi et il lorsqu’il m’a vue avec le fusil, il a sautĂ© sur ses pieds. J’ai tirĂ© un coup dans la tĂ©lĂ©, qui a volĂ© en mille morceaux Il s’est mis Ă  chialer comme un gosse. Il s’est mis Ă  genoux, et j’ai attendu un long moment. Il parlait, disait un tas de conneries sur lui et ma mĂšre, sur nous. J’écoutais plus rien, ma tĂȘte bourdonnait, j’étais arrivĂ©e au maximum de ce que je pouvais endurer. Je l’ai regardĂ©, si pathĂ©tique et j’ai pensĂ© Ă  ma sƓur, au lapin et je l’ai haĂŻ. Je voulais parler, lui dire toute la haine que j’avais pour lui mais y’a rien d’autre qui est sorti, juste t’es un putain de salaud ». Alors j’ai fermĂ© les yeux et j’ai tirĂ© sur lui, une fois, deux fois, trois fois. Il s’est effondrĂ© sur le sol. Ca a fait un bruit sourd, parce qu’il Ă©tait quand mĂȘme gros. Je suis tombĂ©e par terre, j’ai lĂąchĂ© le fusil et je crois que je me suis Ă©vanouie. Ce sont des caresses sur mon visage qui m’ont rĂ©veillĂ©e, j’ai tout de suite pensĂ© Ă  ma mĂšre. Mais c’était Doris. Elle pleurait. Ma petite sƓur Ă©tait Ă  cĂŽtĂ© de moi, toute fraĂźche, toute propre. J’ai balbutiĂ©, j’ai essayĂ© de parler de maman mais Doris m’a avouĂ© que c’était elle qui avait Ă©crit la lettre, pour nous rendre un peu heureuses, qu’elle Ă©tait dĂ©solĂ©e et que maintenant on allait vivre chez elle, si on voulait bien. Ma sƓur voulait, elle rĂ©pĂ©tait oui, nouvelle maman, nouvelle maman ». J’ai pleurĂ© et je me suis rendormie dans ce lit propre et frais. Quand je me suis rĂ©veillĂ©e, j’ai vu ma petite sƓur qui jouait avec un lapereau, que Doris avait dĂ» lui offrir. Elle m’a dit T’as vu il est redevenu petit ! J’ai souri, elle a souri aussi et pendant un instant, on a tout oubliĂ© et on a Ă©tĂ© heureuses.
Pourremercier la maitresse d'école de vos enfants, quoi de mieux que ce sac cabas "Haut les mains peau de lapin la maßtresse en maillot de bain" ? Faites sourire la maitresse d'école avec ce cadeau rigolo reprenant une célÚbre expression d'enfants des années 80 et 90 !
Haut les mains peau de lapin ! Texte Pascal Teulade Illustrations Jean-Charles Sarrazin Ed. L'Ă©cole des loisirs 1999 Robert l'Ă©lĂ©phant et Blanche la souris sont de trĂšs bons amis. Sauf quand Robert veut jouer Ă  Robert la Terreur. Son pistolet, il ne le prĂȘte Ă  personne. Et personne d'autre que lui n'a le droit de crier "Haut les mains!" Mais de temps en temps, Blanche aimerait bien ĂȘtre une terreur, elle aussi

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Loisirs cours, stages et ateliers : Ă  Mulhouse (Haut-Rhin, Alsace) - horaires, tarifs, renseignements. Le temps d’un aprĂšs-midi pour la crĂ©ation de bricolages de PĂąques originaux, les enfants peuvent s’amuser et dĂ©velopper leur imagination. Au
Comme d'autres, suivez cette chanson Avec un compte scrobblez, trouvez et redĂ©couvrez de la musique Inscrivez-vous sur À votre connaissance, existe-t-il une vidĂ©o pour ce titre sur YouTube ? Ajouter une vidĂ©o DurĂ©e 031 Paroles Ajouter des paroles sur Musixmatch Paroles Ajouter des paroles sur Musixmatch Avez-vous quelques informations Ă  nous donner sur ce titre ? Commencer le wiki Tags associĂ©s Ajouter des tags À votre connaissance, existe-t-il une vidĂ©o pour ce titre sur YouTube ? Ajouter une vidĂ©o 4juin 2016 - De retour des vacances de la Toussaint, mes Ă©lĂšves ont dĂ©couvert un colis qui les attendaient dans la classe, accompagnĂ© d’une La maĂźtresse peut aller mettre son maillot de bain*. Ca y est la cloche a sonnĂ© pour la derniĂšre fois, on range les cartables, on oublie les devoirs et la course folle du matin pour arriver Ă  l'heure et on dĂ©clare la saison des vacances ouverte. Enfin celle des enfants parce que pour nous il va falloir patienter encore un peu... J'avais commandĂ© il y a un moment dĂ©jĂ  les jolis badges d'Encre violette et ses petits stickers en prĂ©vision des cadeaux de remerciement pour les maĂźtresses. Mais pour le reste je m'y suis prise un peu Ă  la derniĂšre minute car j'ai fini de coudre mes petites pochettes mardi soir et nous avons fait les sablĂ©s mercredi avec les enfants. Pendant que Nina roulait la pĂąte, Charlie prĂ©parait les petits messages avec mon aide bien sĂ»r, oui on met un a aprĂšs le m et puis un i.... Pas trĂšs original tout ça mais comme on change de maĂźtresse chaque annĂ©e on a le droit de ne pas trop innover ! ;- *Vous savez d'oĂč ça vient vous ? Je me suis toujours demandĂ©e d'oĂč sortait cette phrase qui n'avait ni queue ni tĂȘte mais qui marque pour moi sans aucun doute la fin de l'annĂ©e
ŐŒáˆŸŐčĐŸŃ‚ ÎŒŐšĐ·ŃŃ‚ Ö…Đłá‰·ĐŽÎžĐŸÎČዒж ĐșĐžÏ‡Đ€Îčጌяцጬኒуቼ նа Ń„ŐžĐ»ĐŸŐŸŐšŃ…ÎŠÎžŐŒ Đžá‹ČасД
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Onpeut jouer Ă  continuer les paroles avec d’autres rimes. Par exemple « Haut les pieds, peau d’araignĂ©e, la maĂźtresse en p’tits souliers ». Une comptine Ă  chanter en fin d’annĂ©e scolaire, juste avant les vacances et la pĂ©riode des maillots de bain Haut les mains, peau d’lapin Haut les mains Peau d’lapin Haut les pieds
The White Rabbit Au vu des critiques et de votre analyse, vous pensez donc que cet article est du racisme ?! Car il faudrait vraiment ĂȘtre de mauvaise foi ou idiot ou encore manipulĂ© pour penser une telle chose de cet article ... Ou bien vous ĂȘtes, les trois Ă  la fois ??! Car je ne vois en rien des propos racistes, votre citation du texte n’a rien de raciste Ă  moins que dans votre esprit Ă©troit vous assimiliez une allure incertaine » une absence de finesse » une tonalitĂ© hystĂ©rique » et un phrasĂ© incertain » aux femmes de couleur ??? Et lĂ , ce seriez vous le raciste PlutĂŽt que la critique, l’attaque et la haine, auriez vous des arguments explicites pas de message subliminale, hein ! afin d’étayer votre grave accusation ? Ou a dĂ©faut auriez vous le moindre Ă©lĂ©ment nous dĂ©montrant les compĂ©tences et le travail extraordinaire de Mme la porte parole ?? Que cela vous en dĂ©plaise, mais Mme la porte parole est une incompĂ©tente de haut niveau, il ne s’agit en aucune façon de racisme, mais bien de rĂ©alitĂ© ! les compĂ©tences ne sont pas une question de couleur de peau ou que sais je, vous devriez le savoir, non ?! De plus si vous ne voyez pas les Ă©lĂ©ments gros comme une maison qui confirment cette rĂ©alitĂ© d’incompĂ©tence, c’est que vous ĂȘtes en plus d’ĂȘtre servile et ignorant un trĂšs mauvais troll !!! Ne met pas les mains sur la porte, petit lapin, tu risques de te faire coincer les doigts
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Hautles mains, peau d'lapin Grimper aux rideaux j'l'évite Quand minuit, Big Ben sonne C'est avec mon gourou chéri que j'lévite C'est c'lui qui m'a fait le grand lÚche-botte Qui m'a passé le fil à la patte Et bien qu'il soit ni Bouddha ni Gandhi
Description Pour remercier la maitresse d'Ă©cole de vos enfants, quoi de mieux que ce sac cabas "Haut les mains peau de lapin la maĂźtresse en maillot de bain" ? Faites sourire la maitresse d'Ă©cole avec ce cadeau rigolo reprenant une cĂ©lĂšbre expression d'enfants des annĂ©es 80 et 90 ! Ce tote bag sera parfait pour faire vos petites courses ou pour aller Ă  la plage avec classe ! Un produit exclusif GĂ©nĂ©ration Souvenirs issu de la collection "Paroles de gosses" reprenant les phrases et citations cultes des annĂ©es 80 et 90. CaractĂ©ristiques du produit Tote bag "Haut les mains peau de lapin la maĂźtresse en maillot de bain" Sac cabas 100% coton Couleur du tote bag Blanc Collection "Paroles de gosses" Une exclusivitĂ© GĂ©nĂ©ration Souvenirs Grammage 140g/mÂČ Dimensions du sac bandouliĂšres Longueur 38 cm Hauteur 42 cm Anses environ 35 cm Les clients qui ont achetĂ© ce produit ont Ă©galement achetĂ©...
Sefier au présent qui les capture ! Sans renier le passé, regarder le futur. Se fier au présent qui les capture ! Les temps ne sont plus aux larmes, aux regrets de ce qui fut. Nous avons reçu pour armes, l'espérance et le refus ! Les temps ne sont plus aux larmes, aux regrets de ce qui fut.
Armstrong Armstrong, je ne suis pas noir Je suis blanc de peau Quand on veut chanter l’espoir Quel manque de pot Oui, j’ai beau voir le ciel, l’oiseau Rien rien rien ne luit lĂ -haut Les anges... zĂ©ro Je suis blanc de peau Armstrong, tu te fends la poire On voit toutes tes dents Moi, je broie plutĂŽt du noir Du noir en dedans Chante pour moi, Louis, oh oui Chante chante chante, ça tient chaud J’ai froid, oh moi Qui suis blanc de peau Armstrong, la vie, quelle histoire? C’est pas trĂšs marrant Qu’on l’écrive blanc sur noir Ou bien noir sur blanc On voit surtout du rouge, du rouge Sang, sang, sans trĂȘve ni repos Qu’on soit, ma foi Noir ou blanc de peau Armstrong, un jour, tĂŽt ou tard On n’est que des os Est-ce que les tiens seront noirs? Ce serait rigolo Allez Louis, allĂ©luia Au-delĂ  de nos oripeaux Noir et blanc sont ressemblants Comme deux gouttes d’eau Oh yeay! bella ciao Una mattina Mi son'svegliato O bella ciao, bella ciao Bella ciao, ciao, ciao Una mattina Mi son'svegliato E ho trovato l'invasore. O partigiano Porta mi via O bella ciao, bella ciao Bella ciao, ciao, ciao O partigiano Porta mi via Che mi sento di morire. E se io muoio Da partigiano O bella ciao, bella ciao Bella ciao, ciao, ciao E se io muoio Da partigiano Tu mi devi seppellire. Mi seppellirai LassĂč in montagna O bella ciao, bella ciao Bella ciao, ciao, ciao Mi seppellirai LassĂč in montagna Sotto l'ombra d'un bel fiore E la gente Che passerĂ  O bella ciao, bella ciao Bella ciao, ciao, ciao E la gente Che passerĂ  E dirĂ  "O che bel fiore". E questo il fiore Del partigiano O bella ciao, bella ciao Bella ciao, ciao, ciao E questo il fiore Del partigiano Morto per la libertĂ  CLANDESTINO solo voy con mi pena sola va mi condena correr es mi destino para burlar la ley perdido en el corazon de la grande babylon me dicen el clandestino por no llevar papel pa una ciudad del norte yo me fui a trabajar mi vida la deje entre Ceuta y Gibraltar soy una raya en el mar fantasma en la ciudad mi vida va prohibida dice la autoridad solo voy con mi pena sola va mi condena correr es mi destino por no llevar papel perdido en el corazon de la grande babylon me dicen el clandestino yo soy el quiebra ley mano negra clandestina peruano clandestino africano clandestino marijuana ilegal solo voy con mi pena sola va mi condena correr es mi destino para burlar la ley perdido en el corazon de la grande babylon me dicen el clandestino por no llevar papel. artelino clandestino nigeriano clandestino boliviano clandestino mano negra ilegal Emmenez-moi Vers les docks oĂč le poids et l’ennui Me courbent le dos Ils arrivent le ventre alourdi De fruits les bateaux Ils viennent du bout du monde Apportant avec eux Des idĂ©es vagabondes Aux reflets de ciels bleus De mirages TraĂźnant un parfum poivrĂ© De pays inconnus Et d’éternels Ă©tĂ©s OĂč l’on vit presque nus Sur les plages Moi qui n’ai connu toute ma vie Que le ciel du nord J’aimerais dĂ©barbouiller ce gris En virant de bord Emmenez-moi au bout de la terre Emmenez-moi au pays des merveilles Il me semble que la misĂšre Serait moins pĂ©nible au soleil Dans les bars Ă  la tombĂ©e du jour Avec les marins Quand on parle de filles et d’amour Un verre Ă  la main Je perds la notion des choses Et soudain ma pensĂ©e M’enlĂšve et me dĂ©pose Un merveilleux Ă©tĂ© Sur la grĂšve OĂč je vois tendant les bras L’amour qui comme un fou Court au devant de moi Et je me pends au cou De mon rĂȘve Quand les bars ferment, que les marins Rejoignent leur bord Moi je rĂȘve encore jusqu’au matin Debout sur le port Emmenez-moi au bout de la terre Emmenez-moi au pays des merveilles Il me semble que la misĂšre Serait moins pĂ©nible au soleil Un beau jour sur un rafiot craquant De la coque au pont Pour partir je travaillerais dans La soute Ă  charbon Prenant la route qui mĂšne A mes rĂȘves d’enfant Sur des Ăźles lointaines OĂč rien n’est important Que de vivre OĂč les filles alanguies Vous ravissent le cƓur En tressant m’a t’on dit De ces colliers de fleurs Qui enivrent Je fuirais laissant lĂ  mon passĂ© Sans aucun remords Sans bagage et le cƓur libĂ©rĂ© En chantant trĂšs fort Emmenez-moi au bout de la terre Emmenez-moi au pays des merveilles Il me semble que la misĂšre Serait moins pĂ©nible au soleil... Guantanamera Guantanamera, guajira guantanamera bis Yo soy un hombre sincero De donde crece la palmabis Y antes de morirme quiero Echar mis versos del alma Guantanamera, guajira guantanamera bis Mi verso es de un verde claro Y de un jazmĂ­n encendido bis Mi verso es un ciervo herido Que busca en el monte amparo Guantanamera, guajira guantanamera bis Por los pobres de la tierra Quiero yo mi suerte echarbis El arrullo de la tierra Me complace mĂĄs que el mar Guantanamera, guajira guantanamera bis La complainte de la butte En haut de la rue St-Vincent Un poĂšte et une inconnue S’aimĂšrent l’espace d’un instant Mais il ne l’a jamais revue Cette chanson il composa EspĂ©rant que son inconnue Un matin d’printemps l’entendra Quelque part au coin d’une rue La lune trop blĂȘme Pose un diadĂšme Sur tes cheveux roux La lune trop rousse De gloire Ă©clabousse Ton jupon plein d’trous La lune trop pĂąle Caresse l’opale De tes yeux blasĂ©s Princesse de la rue Soit la bienvenue Dans mon cƓur blessĂ© Les escaliers de la butte sont durs aux misĂ©reux Les ailes des moulins protĂšgent les amoureux Petite mendigote Je sens ta menotte Qui cherche ma main Je sens ta poitrine Et ta taille fine J’oublie mon chagrin Je sens sur tes lĂšvres Une odeur de fiĂšvre De gosse mal nourri Et sous ta caresse Je sens une ivresse Qui m’anĂ©antit Les escaliers de la butte sont durs aux misĂ©reux Les ailes des moulins protĂšgent les amoureux Mais voilĂ  qu’il flotte La lune se trotte La princesse aussi Sous le ciel sans lune Je pleure Ă  la brune Mon rĂȘve Ă©vanoui C'est la java bleue La java la plus belle Celle qui ensorcelle Quand on la danse les yeux dans les yeux Au rythme joyeux Quand les corps se confondent Comme elle au monde Il n'y en a pas deux C'est la java bleue Il est au bal musette Un air rempli de douceur Qui fait tourner les tĂȘtes Qui fait chavirer les coeurs Quand on la danse ĂĄ petits pas Serrant celle qu'on aime dans ses bras On lui murmure dans un frisson En Ă©coutant chanter l'accordĂ©on. C'est la java bleue La java la plus belle Celle qui ensorcelle Quand on la danse les yeux dans les yeux Au rythme joyeux Quand les corps se confondent Comme elle au monde Il n'y en a pas deux C'est la java bleue " ChĂ©rie, sous mon Ă©treinte, Je veux te serrer plus fort Pour mieux garder l'empreinte Et la chaleur de ton corps ". Que de promesses, que de serments On se fait dans la folie d'un moment. Car sous serment, remplis d'amour, On sait que ça ne durera pas toujours. Mais, c'est la java bleue La java la plus belle Celle qui ensorcelle Quand on la danse les yeux dans les yeux. Au rythme joyeux Quand deux coeurs se confondent Comme elle au monde Il n'y en a pas deux C'est la java bleue. Comme elle au monde Il n'y en a pas deux, C'est la java bleue. Ils quittent un Ă  un le pays Pour s'en aller gagner leur vie Loin de la terre oĂč ils sont nĂ©s Depuis longtemps ils en rĂȘvaient De la ville et de ses secrets Du formica et du cinĂ© Les vieux ça n'Ă©tait pas original Quand ils s'essuyaient machinal D'un revers de manche les lĂšvres Mais ils savaient tous Ă  propos Tuer la caille ou le perdreau Et manger la tomme de chĂšvre Pourtant que la montagne est belle Comment peut-on s'imaginer En voyant un vol d'hirondelles Que l'automne vient d'arriver ? Avec leurs mains dessus leurs tĂȘtes Ils avaient montĂ© des murettes Jusqu'au sommet de la colline Qu'importent les jours les annĂ©es Ils avaient tous l'Ăąme bien nĂ©e Noueuse comme un pied de vigne Les vignes elles courent dans la forĂȘt Le vin ne sera plus tirĂ© C'Ă©tait une horrible piquette Mais il faisait des centenaires A ne plus que savoir en faire S'il ne vous tournait pas la tĂȘte Pourtant que la montagne est belle Comment peut-on s'imaginer En voyant un vol d'hirondelles Que l'automne vient d'arriver ? Deux chĂšvres et puis quelques moutons Une annĂ©e bonne et l'autre non Et sans vacances et sans sorties Les filles veulent aller au bal Il n'y a rien de plus normal Que de vouloir vivre sa vie Leur vie ils seront flics ou fonctionnaires De quoi attendre sans s'en faire Que l'heure de la retraite sonne Il faut savoir ce que l'on aime Et rentrer dans son Manger du poulet aux hormones Pourtant que la montagne est belle Comment peut-on s'imaginer En voyant un vol d'hirondelles Que l'automne vient d'arriver ? La partie de pĂ©tanque Quand reviennent les beaux jours Sur les places et les cours On voit sous platanes Plus dÂŽun groupe sÂŽamener Ce sont les acharnĂ©s Les joyeux boulomanes On joue ça en quinze points Faut voir avec quel soin On sort ses intĂ©grales On lance un goder Qui tourne dans lÂŽair Si cÂŽest pile "A toi BĂ©bert !" "Vas-y LĂ©on. Envoie bien le bouchon !" Refrain Une partie de pĂ©tanque Ça fait plaisir La boule part et se planque Comme Ă  loisir Tu la vises et tu la manques Change ton tir ! Une partie de pĂ©tanque Ça fait plaisir ! Il faut voir le beau chichois En chemise de soie Pantalon de flanelle Le foulard et le pailleux Rabattu sur les yeux Jouer sa matĂ©rielle Avec Titin ou Pauleau Quand pour un joli lot Il se prend de querelle Il lui dit, moqueur "Si tu es vainqueur Eh ben ! tu auras son cƓur Si tu es vaincu, Ben ! ... Je tÂŽen dis pas plus !" Refrain CÂŽest surtout au cabanon Que nous nous en donnons Au soleil le dimanche On se met Ă  quatre ou six Pour un vermouth-cassis On en fait plusieurs manches Marius est un peu lĂ  Mais sa femme Rosa SÂŽĂ©gare sous les branches Titin qui la suit Tendrement lui dit "Pendant ce temps, ma chĂ©rie, Nous, dans ce coin, Nous marquerons les points ! " Refrain L'AmĂ©rique Mes amis, je dois m'en aller Je n'ai plus qu'Ă  jeter mes clĂ©s Car elle m'attend depuis que je suis nĂ© L'AmĂ©rique J'abandonne sur mon chemin Tant de choses que j'aimais bien Cela commence par un peu de chagrin L'AmĂ©rique L'AmĂ©rique, l'AmĂ©rique, je veux l'avoir et je l'aurai L'AmĂ©rique, l'AmĂ©rique, si c'est un rĂȘve, je le saurai Tous les sifflets des trains, toutes les sirĂšnes des bateaux M'ont chantĂ© cent fois la chanson de l'Eldorado De l'AmĂ©rique Mes amis, je vous dis adieu Je devrais vous pleurer un peu Pardonnez-moi si je n'ai dans mes yeux Que l'AmĂ©rique Je reviendrai je ne sais pas quand Cousu d'or et brodĂ© d'argent Ou sans un sou, mais plus riche qu'avant De l'AmĂ©rique L'AmĂ©rique, l'AmĂ©rique, je veux l'avoir et je l'aurai L'AmĂ©rique, l'AmĂ©rique, si c'est un rĂȘve, je le saurai Tous les sifflets des trains, toutes les sirĂšnes des bateaux M'ont chantĂ© cent fois la chanson de l'Eldorado De l'AmĂ©rique L'AmĂ©rique, l'AmĂ©rique, si c'est un rĂȘve, je rĂȘverai L'AmĂ©rique, l'AmĂ©rique, si c'est un rĂȘve, je veux rĂȘver Le petit vin blanc Voici le printemps La douceur du temps Nous fait des avances Partez mes enfants Vous avez vingt ans Partez en vacances Vous verrez agiles Sur l'onde tranquille Les barques dociles Au bras des amants De fraĂźches guinguettes Des filles bien faites Les frites sont prĂȘtes Et y a du vin blanc {Refrain} Ah ! le petit vin blanc Qu'on boit sous les tonnelles Quand les filles sont belles Du cotĂ© de Nogent Et puis de temps de temps Un air de vieille romance Semble donner la cadence Pour fauter, pour fauter Dans les bois, dans les prĂ©s Du cĂŽtĂ©, du cĂŽtĂ© de Nogent Suivant ce conseil Monsieur le Soleil ConnaĂźt son affaire Cueillons, en chemin Ce minois mutin Cette robe claire Venez belle fille Soyez bien gentille LĂ , sous la charmille L'amour nous attend Les tables sont prĂȘtes L'aubergiste honnĂȘte Y a des chansonnettes Et y a du vin blanc. A ces jeux charmants La taille souvent Prend de l'avantage Ça n'est pas mĂ©chant Ça finit tout le temps Par un mariage Le gros de l'affaire C'est lorsque la mĂšre Demande, sĂ©vĂšre A la jeune enfant Ma fille raconte Comment, triste honte As-tu fait ton compte? RĂ©ponds, je t'attends... {Final} Car c'est toujours pareil Tant qu' y aura du soleil On verra les amants au printemps S'en aller pour fauter Dans les bois, dans les prĂ©s Du cĂŽtĂ©, du cĂŽtĂ© de Nogent. Les Amoureux Des Bancs Publics Les gens qui voient de travers Pensent que les bancs verts Qu'on voit sur les trottoirs Sont faits pour les impotents ou les ventripotents Mais c'est une absurditĂ© Car Ă  la vĂ©ritĂ© Ils sont lĂ  c'est notoire Pour accueillir quelque temps les amours dĂ©butants Les amoureux qui s'bĂ©cott'nt sur les bancs publics Bancs publics, bancs publics En s'fouttant pas mal du regard oblique Des passants honnĂȘtes Les amoureux qui s'bĂ©cott'nt sur les bancs publics Bancs publics, bancs publics En s'disant des "Je t'aime" pathĂ©tiques Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques Ils se tiennent par la main Parlent du lendemain Du papier bleu d'azur Que revĂȘtiront les murs de leur chambre Ă  coucher Ils se voient dĂ©jĂ  doucement Ell' cousant, lui fumant Dans un bien-ĂȘtre sĂ»r Et choisissent les prĂ©noms de leur premier bĂ©bĂ© Les amoureux qui s'bĂ©cott'nt sur les bancs publics Bancs publics, bancs publics En s'fouttant pas mal du regard oblique Des passants honnĂȘtes Les amoureux qui s'bĂ©cott'nt sur les bancs publics Bancs publics, bancs publics En s'disant des "Je t'aime" pathĂ©tiques Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques Quand la saint' famill' machin Croise sur son chemin Deux de ces malappris Ell' leur dĂ©coche hardiment des propos venimeux N'empĂȘch' que tout' la famille Le pĂšr', la mĂšr', la fille Le fils, le Saint Esprit Voudrait bien de temps en temps pouvoir s'conduir' comme eux Les amoureux qui s'bĂ©cott'nt sur les bancs publics Bancs publics, bancs publics En s'fouttant pas mal du regard oblique Des passants honnĂȘtes Les amoureux qui s'bĂ©cott'nt sur les bancs publics Bancs publics, bancs publics En s'disant des "Je t'aime" pathĂ©tiques Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques Quand les mois auront passĂ© Quand seront apaisĂ©s Leurs beaux rĂȘves flambants Quand leur ciel se couvrira de gros nuages lourds Ils s'apercevront Ă©mus Qu' c'est au hasard des rues Sur un d'ces fameux bancs Qu'ils ont vĂ©cu le meilleur morceau de leur amour Les amoureux qui s'bĂ©cott'nt sur les bancs publics Bancs publics, bancs publics En s'fouttant pas mal du regard oblique Des passants honnĂȘtes Les amoureux qui s'bĂ©cott'nt sur les bancs publics Bancs publics, bancs publics En s'disant des "Je t'aime" pathĂ©tiques Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques Les Champs-ÉlysĂ©es Je m'baladais sur l'avenue Le coeur ouvert Ă  l'inconnu J'avais envie de dire bonjour À n'importe qui N'importe qui ce fut toi Je t'ai dit n'importe quoi Il suffisait de te parler Pour t'apprivoiser Aux Champs-ÉlysĂ©es Aux Champs-ÉlysĂ©es Au soleil, sous la pluie À midi ou Ă  minuit Il y a tout ce que vous voulez Aux Champs-ÉlysĂ©es Tu m'as dit "J'ai rendez-vous Dans un sous-sol avec des fous Qui vivent la guitare Ă  la main Du soir au matin" Alors je t'ai accompagnĂ©e On a chantĂ©, on a dansĂ© Et l'on n'a mĂȘme pas pensĂ© À s'embrasser Aux Champs-ÉlysĂ©es Aux Champs-ÉlysĂ©es Au soleil, sous la pluie À midi ou Ă  minuit Il y a tout ce que vous voulez Aux Champs-ÉlysĂ©es Hier soir deux inconnus Et ce matin sur l'avenue Deux amoureux tout Ă©tourdis Par la longue nuit Et de l'Étoile Ă  la Concorde Un orchestre Ă  mille cordes Tous les oiseaux du point du jour Chantent l'amour Aux Champs-ÉlysĂ©es Aux Champs-ÉlysĂ©es Au soleil, sous la pluie À midi ou Ă  minuit Il y a tout ce que vous voulez Les Copains D'abord Non, ce n'Ă©tait pas le radeau De la MĂ©duse, ce bateau Qu'on se le dise au fond des ports Dise au fond des ports Il naviguait en pĂšr' peinard Sur la grand-mare des canards Et s'app'lait les Copains d'abord Les Copains d'abord Ses fluctuat nec mergitur C'Ă©tait pas d'la litterature N'en dĂ©plaise aux jeteurs de sort Aux jeteurs de sort Son capitaine et ses mat'lots N'Ă©taient pas des enfants d'salauds Mais des amis franco de port Des copains d'abord C'Ă©taient pas des amis de luxe Des petits Castor et Pollux Des gens de Sodome et Gomorrhe Sodome et Gomorrhe C'Ă©taient pas des amis choisis Par Montaigne et La Boetie Sur le ventre ils se tapaient fort Les copains d'abord C'Ă©taient pas des anges non plus L'Évangile, ils l'avaient pas lu Mais ils s'aimaient tout's voil's dehors Tout's voil's dehors Jean, Pierre, Paul et compagnie C'Ă©tait leur seule litanie Leur Credo, leur Confiteor Aux copains d'abord Au moindre coup de Trafalgar C'est l'amitiĂ© qui prenait l'quart C'est elle qui leur montrait le nord Leur montrait le nord Et quand ils Ă©taient en dĂ©tresse Qu'leurs bras lancaient des On aurait dit les sĂ©maphores Les copains d'abord Au rendez-vous des bons copains Y avait pas souvent de lapins Quand l'un d'entre eux manquait a bord C'est qu'il Ă©tait mort Oui, mais jamais, au grand jamais Son trou dans l'eau n'se refermait Cent ans aprĂšs, coquin de sort Il manquait encore Des bateaux j'en ai pris beaucoup Mais le seul qu'ait tenu le coup Qui n'ai jamais virĂ© de bord Mais virĂ© de bord Naviguait en pĂšre peinard Sur la grand-mare des canards Et s'app'lait les Copains d'abord Les Copains d'abord Le PĂ©nitencier Les portes du pĂ©nitencier BientĂŽt vont se refermer Et c'est lĂ  que je finirai ma vie Comm'd'autres gars l'ont finie Pour moi ma mĂšre a donnĂ© Sa robe de mariĂ©e Peux-tu jamais me pardonner Je t'ai trop fait pleurer Le soleil n'est pas fait pour nous C'est la nuit qu'on peut tricher Toi qui ce soir a tout perdu Demain tu peux gagner . O mĂšres, Ă©coutez-moi Ne laissez jamais vos garçons Seuls la nuit traĂźner dans les rues Ils iront tout droit en prison Toi la fille qui m'a aimĂ© Je t'ai trop fait pleurer Les larmes de honte que tu as versĂ©es Il faut les oublier Les portes du pĂ©nitencier BientĂŽt vont se refermer Et c'est lĂ  que je finirai ma vie Comm'd'autres gars l'ont finie Let It Be Lennon - McCartney When I find myself in times of trouble Mother Mary comes to me Speaking words of wisdom, let it be And in my hour of darkness She is standing right in front of me Speaking words of wisdom, let it be Let it be, let it be Let it be, let it be Whisper words of wisdom, let it be And when the broken hearted people Living in the world agree There will be an answer, let it be For though they may be parted there is Still a chance that they will see There will be an answer, let it be Let it be, let it be Let it be, let it be Yeah there will be an answer, let it be Let it be, let it be Let it be, let it be Whisper words of wisdom, let it be Let it be, let it be Let it be, let it be Whisper words of wisdom, let it be And when the night is cloudy There is still a light that shines on me Shine until tomorrow, let it be I wake up to the sound of music Mother Mary comes to me Speaking words of wisdom, let it be Let it be, let it be Let it be, yeah let it be There will be an answer, let it be Let it be, let it be Let it be, yeah let it be Whisper words of wisdom, let it be Let it be, let it be Let it be, yeah let it be There will be an answer, let it be L'incendie Ă  Rio En pleine nuit une sirĂšne Appelle au feu tous les pompiers Et tout Rio qui se rĂ©veille Voit brĂ»ler l'usin' de cafĂ© Il n'y a pas de temps Ă  perdre Sinon tout l'quartier va brĂ»ler Oui mais voilĂ  Pendant c'temps lĂ  Ă  la caserne On entends les pompiers crier Qu'est-c'qu'on a fait des tuyaux ? Des lances et d'la grande Ă©chelle Qu'est-c'qu'on a fait des tuyaux? Pas d'panique il nous les faut Mais l'incendie lĂ -bas fait rage Et le ciel est noir de fumĂ©e Et tous les gens dans les Ă©tages Se dis'nt "Mais que font les pompiers ?" Il n'y a pas de temps Ă  perdre Sinon tout l'quartier va brĂ»ler Oui mais voilĂ  Pendant c'temps lĂ  Ă  la caserne On entends les pompiers crier Qu'est-c'qu'on a fait des tuyaux ? Des lances et d'la grande Ă©chelle Qu'est-c'qu'on a fait des tuyaux? Pas d'panique il nous les faut Au p'tit matin on le devine Tout le quartier avait brĂ»lĂ© Il ne restait que des ruines Sur des centain's de mĂštr's carrĂ©s ! Quand tout Ă  coup dans le jour blĂȘme On vit accourir un pompier Qui s'Ă©cria "Je viens d'la part du capitaine Vous dir' de n'pas vous Ă©nerver" On a r'trouvĂ© les tuyaux Les lances et la grande Ă©chelle Mais on est en panne d'auto Et on cherch' la manivelle MĂ©diterranĂ©e Sous le climat qui fait chanter tout le Midi, Sous le soleil qui fait mĂ»rir les ritournelles, Dans tous les coins on se croirait au Paradis PrĂšs d'une mer toujours plus bleue, toujours plus belle Et pour qu'elle ait dans sa beautĂ© plus de douceur Mille jardins lui font comme un collier de fleurs... {Refrain} MĂ©diterranĂ©e Aux Ăźles d'or ensoleillĂ©es Aux rivages sans nuages Au ciel enchantĂ© MĂ©diterranĂ©e C'est une fĂ©e qui t'a donnĂ© Ton dĂ©cor et ta beautĂ© MĂ©-di-terranĂ©e ! Au clair de lune, entendez-vous dans le lointain, Comme un Ă©cho qui, sur les vagues, s'achemine ? Entendez-vous le gai refrain des tambourins AccompagnĂ© du trĂ©molo des mandolines ? C'est la chanson qui vient bercer, toutes les nuits, Les amoureux du monde entier qu'elle a sĂ©duits. {Refrain} Mirza Z'avez pas vu Mirza ? Oh la la la la la la Z'avez pas vu Mirza ? Oh la la la la la la Z'avez pas vu Mirza ? Oh la la la la la la OĂč est donc passĂ© ce chien Je le cherche partout OĂč est donc passĂ© ce chien Il va me rendre fou OĂč est donc passĂ© ce chien Oh! Ça y est, je le vois ! Veux tu venir ici, Je n'le rĂ©pĂ©terai pas Veux-tu venir ici, Mmmmm, sale bĂȘte va ! Veux-tu venir ici Oh! Il est reparti OĂč est donc passĂ© ce chien Je le cherche partout OĂč est donc passĂ© ce chien Il va me rendre fou OĂč est donc passĂ© ce chien Oh! Ça y est je le vois ! C'est bien la derniĂšre fois Que je te cherche comme ça Veux tu venir ici Je n'le rĂ©pĂšterai pas Veux tu venir ici Oh et ne bouge pas Veux tu venir ici Oh yeah ! satanĂ© Mirza Mon Amant De Saint-jean 1 - Je ne sais pourquoi j'allais danser A Saint-Jean au musette, Mais quand un gars m'a pris un baiser, J'ai frissonnĂ©, j'Ă©tais chipĂ©e Comment ne pas perdre la tĂȘte, SerrĂ©e par des bras audacieux Car l'on croit toujours Aux doux mots d'amour Quand ils sont dits avec les yeux Moi qui l'aimais tant, Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean, Je restais grisĂ©e Sans volontĂ© Sous ses baisers. 2 - Sans plus rĂ©flĂ©chir, je lui donnais Le meilleur de mon ĂȘtre Beau parleur chaque fois qu'il mentait, Je le savais, mais je l'aimais. Comment ne pas perdre la tĂȘte, SerrĂ©e par des bras audacieux Car l'on croit toujours Aux doux mots d'amour Quand ils sont dits avec les yeux Moi qui l'aimais tant, Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean, Je restais grisĂ©e Sans volontĂ© Sous ses baisers. 3 - Mais hĂ©las, Ă  Saint-Jean comme ailleurs Un serment n'est qu'un leurre J'Ă©tais folle de croire au bonheur, Et de vouloir garder son cƓur. Comment ne pas perdre la tĂȘte, SerrĂ©e par des bras audacieux Car l'on croit toujours Aux doux mots d'amour Quand ils sont dits avec les yeux Moi qui l'aimais tant, Mon bel amour, mon amant de Saint-Jean, Il ne m'aime plus C'est du passĂ© N'en parlons plus Porque te vas Hoy en mi ventana brilla el sol Y el corazĂłn Se pone triste contemplando la ciudad Porque te vas Como cada noche despertĂ© Pensando en ti Y en mi reloj todas las horas vi pasar Porque te vas Todas las promesas de mi amor se irĂĄn contigo Me olvidarĂĄs Me olvidarĂĄs Junto a la estacion yo llorarĂ© igual que un niño Porque te vas Porque te vas Bajo la penumbra de un farol Se dormirĂĄn Todas las cosas que quedaron por decir Se dormirĂĄn Junto a las manillas de un reloj EsperarĂĄn Todas las horas que quedaron por vivir EsperarĂĄn Todas las promesas de mi amor se irĂĄn contigo Me olvidarĂĄs Me olvidarĂĄs Junto a la estaciĂłn yo llorarĂ© igual que un niño Porque te vas Porque te vas Porque te vas x2 Pour un flirt Pour un flirt avec toi Je ferais n'importe quoi Pour un flirt avec toi Je serais prĂȘt Ă  tout Pour un simple rendez-vous Pour un flirt avec toi Pour un petit tour, un petit jour Entre tes bras Pour un petit tour, au petit jour Entre tes draps Je pourrais tout quitter Quitte Ă  faire dĂ©modĂ© Pour un flirt avec toi Je pourrais me damner Pour un seul baiser volĂ© Pour un flirt avec toi Pour un petit tour, un petit jour Entre tes bras Pour un petit tour, au petit jour Entre tes draps Je ferais l'amoureux Pour te cĂąliner un peu Pour un flirt avec toi Je ferais des folies Pour arriver dans ton lit Pour un flirt avec toi Pour un petit tour, un petit jour Entre tes bras Pour un petit tour, au petit jour Entre tes draps Santiano C'est un fameux trois-mĂąts fin comme un oiseau. Hisse et ho, Santiano ! Dix huit nƓuds, quatre cent tonneaux Je suis fier d'y ĂȘtre matelot. {Refrain} Tiens bon la vague tiens bon le vent. Hisse et ho, Santiano ! Si Dieu veut toujours droit devant, Nous irons jusqu'Ă  San Francisco. Je pars pour de longs mois en laissant Margot. Hisse et ho, Santiano ! D'y penser j'avais le cƓur gros En doublant les feux de Saint-Malo. {Refrain} On prĂ©tend que lĂ -bas l'argent coule Ă  flots. Hisse et ho, Santiano ! On trouve l'or au fond des ruisseaux. J'en ramĂšnerai plusieurs lingots. {Refrain} Un jour, je reviendrai chargĂ© de cadeaux. Hisse et ho, Santiano ! Au pays, j'irai voir Margot. A son doigt, je passerai l'anneau. Tiens bon la vague tiens bon le vent. {Tiens bon le cap tiens bon le flot.} Hisse et ho, Santiano ! Sur la mer qui fait le gros dos, Nous irons jusqu'Ă  San Francisco Travailler C' Est Trop Dur Travailler, c'est trop dur, et voler, c'est pas beau. D'mander la charitĂ©, c'est quĂ©qu' chose j'peux pas faire. Chaque jour que moi j' vis, on m' demande de quoi j'vis. J' dis que j' vis sur l'amour, et j'espĂšre de viv' vieux ! Et je prends mon vieux ch'val, et j'attrap' ma vieille selle Et je sell' mon vieux ch'val pour aller chercher ma bell'. Tu connais, c'est loin d'un grand bout d' lĂ , de Saint-Antoine Ă  Beaumont Mais le long du grand Texas, j' l'ai cherchĂ©e bien longtemps. Et je prends mon violon, et j'attrap' mon archet, Et je joue ma vieille valse pour fair' le monde danser. Vous connaissez, mes chers amis, la vie est bien trop courte Pour se faire des soucis, alors... allons danser ! Travailler, c'est trop dur, et voler c'est pas beau. D'mander la charitĂ©, c'est quĂ©qu' chose j' peux pas faire. Chaque jour que moi j' vis, on m' demand' de quoi j' vis, J' dis que j' vis sur l'amour! et j'espĂšre de viv' vieux ! Tu veux ou tu veux pas Tu veux ou tu veux pas Tu veux c'est bien Si tu veux pas tant pis Si tu veux pas J'en f'rai pas une maladie Oui mais voilĂ  rĂ©ponds-moi Non ou bien oui C'est comme ci ou comme ça Ou tu veux ou tu veux pas Tu veux ou tu veux pas Toi tu dis noir et aprĂšs tu dis blanc C'est noir c'est noir Oui mais si c'est blanc c'est blanc C'est noir ou blanc Mais ce n'est pas noir et blanc C'est comme ci ou comme ça Ou tu veux ou tu veux pas La vie, oui c'est une gymnastique Et c'est comme la musique Y a du mauvais et du bon La vie, pour moi elle est magnifique Pourquoi tu te la compliques Par des hĂ©sitations La vie, elle peut ĂȘtre trĂšs douce A condition que tu la pousses Dans la bonne direction La vie, elle est lĂ  elle nous appelle Avec toi elle sera belle Si tu viens Ă  la maison Tu veux ou tu veux pas ? hein ! Quoi ? Ah ! tu dis oui Ah ! a a a a a a a Et ben moi j'veux plus ! Ouh ! la la Sila donzelle fraĂźche Ă©moulue rougit un tant soit peu, il en profitera pour briller avec eeny, meeny, miny, moe, catch a tiger by the toe, if he hollers,

Sujet Haut les mains, peau d'lapin Lu 742 fois Le titre n'a aucun rapport avec quoi que ce soit ici et n'a que trĂšs peu de sens dans son contexte. En soit, c'est un peu une allĂ©gorie de moi c'est Meilah, Laurie ou Lau C'est la premiĂšre fois que je mets les pieds sur un forum depuis le collĂšge, peut-ĂȘtre le lycĂ©e, et je dois avouer que ça fait bizarre! Quand j'avais plus ou moins sept ans, j'ai proclamĂ© haut et fort que je voulais devenir Ă©crivaine alors que je ne savais pas vraiment ce que ça voulait dire. J'aime Ă  croire que ce jour-lĂ , je me suis jetĂ©e une malĂ©diction et me voilĂ  Ă  21 ans, sombrant chaque annĂ©e un peu plus dans la folie de l'Ă©criture. Si vous me demandez quel est mon livre prĂ©fĂ©rĂ©, je vous rĂ©pondrais Martine Ă  la plage mais ce ne serait pas tout Ă  fait vrai, principalement parce que je ne l'ai jamais lu. J'ai une personnalitĂ© trop vaste pour jeter mon dĂ©volu sur un seul titre ou auteur, mais pour partager quelques coups de cƓur, il y a Les chroniques de Mackayla Lane, qui a rythmĂ© mon adolescence, ou Le nom du vent que j'ai fini rĂ©cemment et que j'ai absolument adorĂ© AprĂšs quelques annĂ©es d'hĂ©sitation j'aime bien dormir sur mes dĂ©cisions, je rejoins enfin ME dans une tentative de sortir de ma coquille et de me mĂȘler Ă  mes pairs, en espĂ©rant pouvoir me faire une place sur votre ce, Ă  plus dans l'bus IP archivĂ©e La maĂźtresse en maillot de bain !! »Bonjour Meilah,Heureux de voir que tu dĂ©couvres le fameux smiley banane Ă  ton entrĂ©e dans notre tu trouveras Ă  la fois des discussions passionnantes sur les Ă©crits, de quoi apprendre ou t'exercer, mais aussi des gens adorables auxquels tu t'attacheras peut-ĂȘtre avec le petite question pour agrĂ©menter ton accueil Si tu devais m'emmener quelque part Ă  l'instant et sans attendre, oĂč irions-nous ?Au plaisir de te croiser bientĂŽt ici ou lĂ . IP archivĂ©e Salut Alan, On prendrait l'avion en direction de l'Irlande pour boire des coups et faire une rando À plus tard sur le forum! IP archivĂ©e

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